Photo© Capture d’écran YouTube
Une flambée d’actes antichrétiens !
En ce moment, on parle beaucoup de canicule et d’incendies. En revanche, les grands médias sont beaucoup plus discrets quant à la flambée des actes antichrétiens. Les ennemis de l’Église ne sont pourtant pas partis en vacances, bien au contraire.
Ce mois de juillet 2022 a été d’une rare violence et l’on peut craindre que le millier d'actes antichrétiens, recensé par le ministère de l’Intérieur chaque année, soit dépassé en janvier prochain, quand viendra le moment de faire les comptes.
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Voici trois exemples d’agressions récentes.
Le premier acte antichrétien concerne l’attaque contre une église du Béarn. Les faits se sont déroulés au cours du week-end du 2 et 3 juillet, dans la petite église de Baigts-de-Béarn, paisible village de 900 habitants, dans les Pyrénées-Atlantiques. Les malfrats ont dérobé un ostensoir offert par l’Impératrice Eugénie, l’épouse de Napoléon III, deux candélabres, une croix et, ce qui plus grave, une petite centaine d’hosties. Et à part des satanistes, on voit mal qui serait prêt à payer pour acquérir des hosties…
La deuxième agression concerne une librairie catholique lyonnaise qui a été vandalisée le 23 juillet dernier. Sur la devanture de la Librairie de l’Emmanuel, située rue Sainte-Hélène dans le IIe arrondissement de la capitale des Gaules, on pouvait lire : « Ni dieux ni maîtres », « LGBTQI+ Forever », ainsi que la phrase « God is dead, we killed him », c’est-à-dire : « Dieu est mort, nous l’avons tué ». Ces propos révoltants étaient accompagnés de la lettre « A », entourée d’un cercle, symbole du mouvement anarchiste. Tout indique donc l’action de militants d’extrême gauche.
Le premier adjoint au maire du IIe arrondissement chargé de la sécurité, Jean-Stéphane Chaillet, a réagi sur Twitter : « Encore des tags insultants sur les murs de notre ville […] Assez de ces groupuscules d’activistes d’extrême gauche qui pourrissent Lyon. »
Enfin, la dernière agression s’est déroulée à Perpignan le 31 juillet. L’église Saint-François-d ’Assise a été affreusement profanée. « La sacristie avait été fracturée, tout sens dessus dessous, les tiroirs avaient été renversés, tout avait été fouillé », raconte à Valeurs Actuelles, Marc Olivier un paroissien qui a découvert les dégâts.
Les malfaiteurs ont jeté les hosties au sol et tenté d’incendier une statue de la Sainte Vierge. Ils sont repartis avec les 40 euros qui se trouvaient dans un coffre de dons et d’offrandes. Les objets de valeur n’ont pas été dérobés, ce qui ne laisse donc guère de place au doute quant à l’objectif des agresseurs : ils voulaient offenser Dieu et l’Église.
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On le voit bien, la haine des chrétiens prend des formes diverses en France : ici on vole des hosties, là on vandalise une librairie, et là-bas on saccage une église… Parfois, ces actes sont le fait de satanistes, d’autres fois ce sont des voyous désœuvrés ou des gauchistes. Le tableau d’ensemble fait froid dans le dos : c’est bien une persécution sournoise qui se dessine.
Que dirait-on en effet si les mosquées et les librairies musulmanes étaient ainsi attaquées ? Ou les synagogues et les librairies juives ? Cela rappellerait les années 30… Alors pourquoi ne dit-on rien quand ce sont les chrétiens qui sont visés ?
Source : https://www.valeursactuelles.c...
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