Vers la disparition de la Fête des mères ?

Manifestation contre le projet du gouvernement sur la Procréation Médicalement Assistée (PMA) et la gestation pour autrui (GPA). Photo© Shutterstock

Vers la disparition de la Fête des mères ?

C’est le plus grand souhait des « wokes », ces adeptes de l’inclusion (à sens unique bien sûr) qui veulent faire tabula rasa de nos traditions.

Maintenant c’est au tour des traditionnelles fêtes des mères et des pères d’être attaquées.

Pire, elles sont déjà remplacées dans certaines écoles par la « fête des gens qu’on aime » ! Une formulation de plus en plus répandue, qui se veut « inclusive » et moins « stigmatisante »…

L’initiative est apparue pour la première fois en 2016, dans une école de Gironde. Un mot avait été adressé dans les cahiers de liaison pour justifier cette décision choquante :

« Au vu de situations familiales délicates de certains enfants, nous avons décidé cette année de fêter la “fête des gens qu’on aime” et non pas les traditionnelles fêtes des mères et pères. »

>>> A LIRE Pourquoi le monde après le libéralisme doit appeler à la restauration de l'Ordre Chrétien

Le tout couvert de bon sentiments : « Ce qui est au cœur d’une telle fête, c’est l’amour. La famille est fortement définie par le lien affectif qui unit les individus, parfois plus que par le lien juridique. Dans le cas d’un beau-parent par exemple, les seules obligations qui existent découlent du lien affectif », veut justifier Christophe Giraud, chercheur à l'université de Paris.

Ce qui est inquiétant, c’est que cette pratique se généralise : de nombreuses écoles ont emboîté le pas de l’équipe pédagogique girondine.

Désormais, les traditionnels cadeaux confectionnés par les enfants pour leur maman en ce jour si important sont maintenant destinés « à la personne de leur choix » .

>>> LIVRE GRATUIT Révolution et Contre-Révolution / Un livre pour aujourd'hui

Pire, dans certaines écoles, « (...), ils ont carrément décidé de ne plus faire de cadeau du tout. Elle qui est très attachée à la symbolique de la famille, cela m’a fait un peu de peine », témoigne la sœur d’une maman.

Au-delà de l’école, cette initiative reflète un phénomène bien plus large, note le quotidien L’Echo Républicain. Comme la récente transformation des mentions “père” et “mère”, en “parent 1” et “parent 2” sur les documents officiels.

Jusqu'où ira la folie « woke » ? Plus que jamais, il est nécessaire de défendre nos traditions, pour l’avenir de nos enfants !

RÉVOLUTION ET  CONTRE-RÉVOLUTION