ONU : une pétition pour contrer le wokisme

Photo : Le drapeau de l'ONU - Image par Edgar Winkler de Pixabay

ONU : une pétition pour contrer le wokisme

Il s’agit d’empêcher l’organisation internationale de promouvoir le wokisme par le biais de procédures pénales.

L'Organisation des Nations Unies (ONU) est en effet prête à tout mettre en œuvre, pour imposer la corruption morale, sociale et spirituelle du totalitarisme de genre et détruire ainsi la famille.

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Un nouveau traité est ainsi en cours d’élaboration, ayant pour but de modifier la définition des crimes contre l'humanité, très influencé par le lobby LGTBI et mettant l’accent sur la "violence de genre".

C'est pourquoi une pétition en ligne a été lancée par l'Institut Ordo Iuris en Pologne. Ce centre juridique, pionnier dans les actions pro-famille, pro-vie et pro-liberté de conscience, mène la bataille contre ce nouveau traité de l’ONU.

Voici quelques extraits de la pétition :

“Les crimes contre l'humanité, qui comptent parmi les crimes les plus graves contre la vie et la dignité humaines, doivent recevoir une réponse efficace et décisive. Le nouveau traité sur la prévention et la répression des crimes contre l'humanité, qui vient d'être élaboré par les Nations unies, est nécessaire pour la communauté internationale, mais sous une forme qui garantisse l'efficacité susmentionnée de sa mise en œuvre. L'idéologie ne devrait pas avoir sa place dans un acte de droit international, surtout s'il est censé contribuer à rendre notre monde meilleur. Nous regrettons donc que la Commission du droit international des Nations unies suive la voie des tendances idéologiques momentanées présentes dans les cercles politiques de gauche et libéraux du monde occidental dans son ensemble.”

Le texte rappelle très justement que le “Statut de Rome de 1998 de la Cour pénale internationale, actuellement en vigueur, stipule clairement à l'article 7, paragraphe 3, que "le terme "genre" se réfère aux deux sexes : masculin et féminin dans un contexte social. Le terme "genre" n'a pas d'autre sens que celui indiqué ci-dessus". L'utilisation de cette disposition rend le Statut de Rome plus lisible, plus clair et plus précis, et donc plus efficace.

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“Une décision délibérée d'utiliser le terme "genre" sans indication claire de sa signification comporte le risque d'une mise en œuvre inefficace et trompeuse de la législation proposée”, mettent en gardent les signataires.

Ces derniers tirent la sonnette d'alarme : “Le rejet de la définition du genre comme masculin et féminin aboutira à la reconnaissance du genre comme une construction sociale dans laquelle tout est permis. L'adoption d'un concept idéologisé et non défini du genre comme outil de changement socioculturel nuit à l'idée d'une véritable protection des victimes de crimes contre l'humanité et compromettra le système de protection des droits de l'homme.”

“Il existe également un risque sérieux que la formulation actuelle du projet de traité ne reçoive pas le soutien des Nations Unies, car il s'agit en fait d'une tentative d'imposer à tous les Etats membres une vision idéologique du monde qui n'est partagée que par une minorité présente dans certains pays occidentaux”, déclarent aussi les auteurs.

Et le manifeste de conclure par cet appel : “Compte tenu de ce qui précède, nous demandons instamment aux Nations unies et à la communauté internationale d'appliquer la définition du genre figurant à l'article 7, paragraphe 3, du Statut de Rome dans le projet de traité sur la prévention et la répression des crimes contre l'humanité. Transformer le système des droits de l'homme en un outil destiné à provoquer des changements socioculturels peut signifier non seulement son discrédit, mais aussi la destruction de son efficacité et, par conséquent, l'effondrement du système des droits de l'homme.”

Source : https://nuestraespana.com/abren-una-campana-de-firmas-para-que-la-onu-no-promueva-el-wokeismo-por-la-via-penal/amp/

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