L’écœurante dérive du mouvement LGBT

« Les hétéros au zoo, libérez les animaux ! » Photo© Twitter

L’écœurante dérive du mouvement LGBT

« Les hétéros au zoo, libérez les animaux ! »

Voilà, parmi d’autres du même type, l’un des slogans entendus à la « Pride radicale », une marche homosexuelle qui s’est déroulée à Paris le 19 juin dernier.

En rupture avec la « Marche des fiertés » jugée trop modérée et compromise avec la police et le « capitalisme » - honnis par les wokes - cette manifestation, réunissant pas moins de 19 collectifs, reflète l’agressivité croissante du mouvement LGBT.

Il y a quelques décennies, les associations homosexuelles réclamaient avant toute chose la « tolérance » envers des comportements que la plupart des Français jugeaient, à raison, « contre-nature ». Puis, le droit à la différence est devenu, avec la loi Taubira ouvrant le mariage aux « couples » de même sexe, le droit à l’indifférence. Toute différence de traitement entre un couple composé d’un homme et d’une femme et un « couple » composé d’individus de même sexe fut jugé « discriminatoire » et donc condamnable.

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A présent, il semblerait que le mouvement LGBT ait adopté une nouvelle posture : il n'est plus suffisant que les comportements homosexuels soient tolérés et banalisés, encore doivent-ils être promus.

Des manifestations chaque fois plus choquantes

Qu’elles se revendiquent « radicales » ou récusent cet adjectif, les manifestations de rue promues par le mouvement LGBT constituent l’occasion de promouvoir publiquement la débauche.

Autrefois cantonnée aux grandes agglomérations, la « gay pride » envahit maintenant les villes de province. Le 4 juin 2022, des marches LGBT étaient ainsi programmées simultanément à Clermont-Ferrand, la Rochelle, Lille, Mulhouse, Nancy, Périgueux, Rennes, Troyes, Reims, Saint-Denis… Des manifestants chaque fois plus nombreux, ne se contentent plus de crier haut et fort leurs revendications : ils miment à grands renforts de gestes obscènes, des pratiques sexuelles écœurantes. Parfois, sous le regard d’enfants !

On ne compte plus les manifestants dénudés ou travestis qui semblent sortis de lieux de perdition dont la plupart des gens ignorent jusqu’à l’existence.

L’hebdomadaire Valeurs Actuelles rapporte qu’à Los Angeles, des travestis presque nus distribuaient du lubrifiant devant des familles et se fouettaient publiquement en tenue sado-masochistes.

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A Paris, certains individus dénudés sont tenus en laisse, comme des chiens, par leurs camarades. Devant des scènes aussi dégradantes, comment ne pas songer aux cercles de l’Enfer décrits par Dante Alighieri ? Il y a moins d’un demi-siècle, de telles abominations dans l’espace public auraient été tout simplement impensables.

Transports en commun, bibliothèques, parcs d’attraction…

Hélas, il n’y a pas que dans la rue que le mouvement LGBT affiche ses turpitudes. En vérité, plus aucun espace, public ou privé, ne semble échapper à sa propagande sordide.

Le mois de juin – rebaptisé « mois des fiertés » – est l’occasion d’exiger des collectivités locales et des entreprises privées qu’elles fassent publiquement allégeance à la communauté LGBT. A Paris, le drapeau arc-en-ciel – récupéré par le mouvement homosexuel – est hissé sur le balcon de l’Hôtel de ville aux côtés du drapeau français et de celui de l’Union européenne. Voilà donc un comportement sexuel promu au rang de nation !

A Lyon, une rame de tramway recouvert d’une fresque en hommage à la cause LGBT a été inaugurée le 15 juin 2022. Elle restera en service pendant au moins un an, révèle Valeurs Actuelles.

A Bègles, en Gironde, les passants sont contraints d’emprunter des passages piétons aux couleurs LGBT. Les grandes marques commerciales rivalisent de démonstration pour prouver leur soutien à la cause homosexuelle et transsexuelle : Canal + annonce un « programme 100% queer », Apple propose des bracelets « Pride Edition »,

Burger King sort des burgers avec deux pains identiques pour le mois des fiertés en Autriche, la marque de jouets LEGO met à l’honneur la communauté queer à travers une campagne soi-disant inclusive, Disneyland se pavoise aux couleurs de l’arc en ciel et met en scène des personnages homosexuels dans ses productions destinées aux enfants.

Cette année, une parade homosexuelle a même été organisée par le célèbre parc d’attraction !

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Plus éloignés des projecteurs, mais tout aussi proches des enfants, certaines bibliothèques proposent la lecture de contes pour enfants par des « drag-queens », ces personnages outrageusement travestis, issus du monde de la nuit homosexuelle.

Des actes « intrinsèquement désordonnés »

L’homosexualité n’est pas un fait nouveau. Pour autant, jamais dans l’histoire de l’humanité, la sodomie n’a fait l’objet d’une telle promotion.

Par ses outrances et son agressivité, le mouvement LGBT fait quotidiennement la démonstration que les relations intimes entre personnes de même sexe sont anormales et contre-nature. Certes, les personnes qui ont une attraction homosexuelle doivent être respectées et elles ne doivent pas faire l’objet de discriminations injustes ni de traitements discourtois.

Pour autant, « les actes d'homosexualité sont intrinsèquement désordonnés », « contraires à la loi naturelle » et, en conséquence, « ne sauraient recevoir d’approbation en aucun cas », comme le rappelle l’enseignement de l’Église catholique sur le sujet. Promouvoir publiquement un tel comportement constitue une évidente offense à Dieu, Lui qui nous a créé « homme » et « femme ».

Si les catholiques ne rappellent pas à leur contemporain la gravité du péché de sodomie qui mène les âmes en Enfer et les sociétés à la ruine, qui le fera ?

Sources :

https://www.valeursactuelles.com/societe/paris-la-pride-radicale-un-mouvement-anti-raciste-et-anti-imperialiste-defilera-dans-les-rues-ce-dimanche
https://www.valeursactuelles.com/societe/la-pride-radicale-relaie-des-slogans-appelant-a-bruler-les-policiers-et-a-mettre-les-heteros-au-zoo
https://www.valeursactuelles.com/clubvaleurs/societe/mois-des-fiertes-lgbt-mois-des-exces
https://www.valeursactuelles.com/regions/auvergne-rhone-alpes/rhone/no_agglomeration/societe/un-tram-dedie-a-la-communaute-lgbt-bientot-mis-en-place-a-lyon