Le transgenre domine désormais notre culture - Photo© crusademagazine
1,6 million d'Américains s'identifient désormais comme transgenres
Ce n'est un secret pour personne que le transgenre domine désormais notre culture. Ce mouvement est devenu omniprésent, davantage dans la société américaine bien sûr, mais il arrive en force en France maintenant aussi.
A titre d’exemple, plus de 1,6 million d'Américains, principalement des jeunes, s'identifient désormais comme transgenres, un chiffre qui a doublé au cours des cinq dernières années.
Ce qui était autrefois un trouble psychologique rare est devenu une banalité.
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Face à cette déferlante, de nombreux catholiques ne savent pas comment combattre ce phénomène culturel. Souvent, nous voulons simplement baisser les bras et dire : « Bien sûr, un homme ne peut pas être une femme ! » Et en rester là. Mais ce n'est plus possible - ce qui était évident pour tous il y a quelques années à peine ne l'est plus pour un nombre croissant de personnes aujourd'hui.
Dans un premier temps, il est bon de se pencher sur les problèmes de santé mentale profondément ancrés qui affectent ceux qui veulent nier leur sexe donné par Dieu, ainsi que sur les abus qui précèdent trop souvent une telle déclaration. Beaucoup d'âmes qui croient qu'elles sont « mal genrées » souffrent et ont besoin de notre aide.
Mais nous ne pouvons ignorer les fondements diaboliques du rejet de la nature, lien que nous oublions trop souvent face au mouvement transgenre aujourd'hui.
Comment décrire autrement un mouvement qui expose librement des enfants à des images sexuelles et pousse des jeunes en difficulté à subir de terribles traitements médicaux ?
Nous savons que ce mouvement est démoniaque car il cherche à renverser la vérité par un mensonge. Tout comme Satan s'est opposé à Jésus, qui est la Vérité, le mouvement transgenre s'oppose également à la vérité. Nous savons tous qu'un homme qui se déclare femme est toujours un homme - même les militants transgenres le savent parfaitement.
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De nombreux catholiques veulent naturellement éviter un langage fort mettant une étiquette démoniaque sur ce mouvement culturel - parler d'esprits diaboliques nous marquera probablement comme extrême et “homophobe”.
Mais la discussion raisonnable nous a déjà depuis longtemps quitté en ce qui concerne le transgenre : il n'y a pas de juste milieu quant à savoir si un homme est un homme ou une femme.
Nous ne pouvons donc pas traiter le transgenre comme un simple trouble de santé mentale, ou simplement comme un autre phénomène culturel “woke”. Nous ne pouvons pas utiliser uniquement les outils de la psychologie ou de la politique pour vaincre le transgenre. Un tel effort échouerait sûrement.
La bataille contre le transgenre est finalement une bataille spirituelle.
Nous devons prendre des mesures radicales pour protéger nos enfants de ces forces démoniaques. Trop d'enfants issus de familles par ailleurs solides ont été aspirés dans le mensonge transgenre parce que leurs parents étaient incapables de voir la gravité du mal promu.
Cela demande aussi une vigilance constante. Saint Pierre nous dit que notre « adversaire le diable rôde comme un lion rugissant, cherchant quelqu'un à dévorer » (1 Pierre 5:8). Nous devons être à l'affût de la façon dont le message transgenre s'infiltre dans notre culture : quel contenu nous et nos enfants consommons-nous, sur les réseaux sociaux, sur Internet et à la télévision ?
Ce ne sera pas par le seul raisonnement humain que nous surmonterons le transgenre, mais en chassant les démons. Nous devons faire appel aux esprits angéliques et divins pour les combattre.
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