Photo - Marche des Fiertés 2014 – Paris – TarValanion, CC BY-SA 3.0, via Wikimedia Commons.
Un quart des jeunes Français se déclarent « LGBT » !
En France, environ un jeune sur quatre se définit comme étant « gay », « lesbienne », « bisexuel(le) » ou « transsexuel(le) » ! Ce chiffre ahurissant a été révélé par un sondage de l’institut Ipsos publié le 1er juin dernier.
Un résultat qui ne doit rien au hasard mais qui est le fruit d’années de propagande.
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La preuve : selon le même sondage, les personnes nées entre 1948 et 1964, ne sont que 4 % à se définir comme étant LGBT.
Ce taux s'accroît ensuite, de génération en génération. Ainsi, 7 % des personnes nées entre 1965 et 1980 se déclarent LGBT, puis 12 % des « millenials » (les personnes nées entre 1981 et 1996) se déclarent comme tels et, finalement, 22 % des jeunes nés après 1997.
On peut constater que le résultat de personnes se déclarant LGBT n’est pas loin de doubler à chaque nouvelle génération ! Les jeunes nés en 2023 seront-ils 50 % à se déclarer homosexuels ou transsexuels dans 20 ans ? C’est plus que probable, hélas.
Le sondage de l’institut IPSOS n’est d’ailleurs pas un fait isolé. D’après une étude IFOP de novembre 2020, près d’un quart des jeunes Français âgés de 18 à 30 ans ne se sent ni homme, ni femme ! Et puis, il y a d’autres indicateurs qui révèlent cet effondrement moral sans précédent. Sur TikTok, le réseau préféré des adolescents, les vidéos à propos du style vestimentaire « non-binaire », autrement dit androgyne, cumulent des millions de vues.
Et le réseau social Yubo, présenté comme un site d’amitié pour les 13-19 ans, a intégré 35 nuances de genres dans son application. Ses membres peuvent ainsi se définir, par exemple comme « agenre », « polygenre », ou encore « gender questioning » pour les plus indécis… Autant de termes que même la plupart des millenials ignorent !
Quant aux organisateurs de la Gay Pride parisienne, ce défilé homosexuel où la débauche s’exprime au grand jour, affirment, auprès du Figaro, être submergés par « un océan d’adolescentes ».
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Une jeune femme témoigne auprès du célèbre quotidien : « Homme-femme, masculin, féminin… Aujourd’hui, on se rend compte que les choses sont beaucoup moins binaires. On peut se sentir ni homme ni femme ou alors cela change selon la période. »
Cette décadence n’est pas le fruit du hasard mais bien la conséquence d’une manipulation éhontée de notre jeunesse de la part d’apprentis-sorciers.
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