Photo - Salle de classe - Image par David Mark de Pixabay
Nice : les enfants récitent des prières musulmanes à l’école !
Tout le monde sait que les islamistes ont infiltré les universités, ainsi que les lycées et parfois les collèges. Mais maintenant, même les écoles primaires sont visées ! C’est ce que l’on peut constater à Nice : l’inspecteur académique a prévenu le maire, Christian Estrosi, que dans plusieurs classes de CM1 et CM2, des prières musulmanes ont été récitées par des enfants.
Certains ont même respecté une minute de silence en mémoire de Mahomet !
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Une provocation quand on pense que jusqu’à présent les minutes de silence étaient plutôt réservées aux victimes de l’islamisme comme Samuel Paty, cet enseignant décapité par un Tchétchène.
D’après Le Figaro, qui a contacté le recteur, les prières ont eu lieu à l’heure du déjeuner et ont impliqué dix élèves de CM1, le 16 mai, et trois enfants du même niveau dans une autre école, le 5 juin. Dans un troisième établissement, un élève de CM2 a pris l'initiative le 8 juin dernier d'organiser la minute de silence en mémoire de Mahomet. Et a évidemment appelé ses camarades à y participer.
En plus de ces écoles primaires, un collège et un lycée auraient aussi été le théâtre d’actes prosélytes de la part d’élèves musulmans.
Le premier adjoint de la ville de Nice, Anthony Borré, a réagi sur CNews : « Je reçois beaucoup de témoignages qui me font dire qu'il y a une dérive de la société. Je suis très inquiet de la récurrence de ces faits. »
D’après Christian Estrosi, il s’agit d’une opération coordonnée : « Ce n'est pas une affaire religieuse mais une provocation politique. On ne peut pas accuser des enfants d'en être à l'origine à cet âge-là, il y a forcément une instrumentalisation de la famille ou de manipulateurs dans les quartiers », a-t-il déclaré.
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Depuis longtemps, M. Estrosi copine avec les islamistes. Qui sème le vent récolte la tempête, dit l’adage… Malgré tout, quelle que soit sa part de responsabilité, le maire semble cette fois faire preuve de lucidité.
Dans la cinquième ville de France, d'autres faits qui portent atteinte à la laïcité et à la loi de 2004 seraient régulièrement constatés d’après Le Figaro. Les directeurs d'établissement ont affaire à des jeunes filles qui arrivent voilées, confirme la rectrice. Mais cette fois, d’après elle, « le sujet le plus sensible est la jeunesse des élèves concernés dans des établissements du premier degré ».
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