Photo : Basilique Notre-Dame de la Garde à mardeille. Image par djedj de Pixabay
Marseille : la soumission des écoles catholique à l’islam
C’est un terrible constat que nous livre la rédaction de Valeurs Actuelles : « La culture islamique s’infiltre partout, même dans les écoles catholiques de Marseille. »
L’hebdomadaire a mené l'enquête dans plusieurs écoles catholiques de Marseille et le bilan est effrayant : « Abayas, qamis, menus sans porc, refus de l’autorité féminine…», la liste est longue.
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Prenons l’exemple des menus sans porc. Valeurs Actuelles révèle que dans « une école privée catholique du centre-ville de Marseille, Scolarest, la société de restauration en charge des repas des demi-pensionnaires, proposait courant septembre des pâtes à la “sauce carbonara sans porc” ».
Certains parents d’élèves s’en sont plaints, comme ce père de famille : « Je ne trouve pas ça normal qu’il n’y ait pas de porc à la cantine. Même dans le public il y en a et ceux qui n’en mangent pas ont, pour l’occasion, un repas végétarien. Je ne comprends pas pourquoi cela ne se passe pas de la même manière ».
De même, une maman « refuse que ses enfants soient privés de porc ». Pourtant, ils le sont, comme dans bien d’autres écoles. Il s’agit bien ici d’une injustice flagrante : « Une ouverture pour les enfants qui ne mangent pas de porc mais pas pour tous ceux qui ont une autre restriction alimentaire (gluten, lait, œuf…) puisque ces derniers doivent apporter leur propre repas. »
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Et ce n’est pas tout, loin de là : le traitement des élèves musulmans semble relever d’un statut particulier, comme le montre le document intitulé Musulmans en École catholique, édité par l’enseignement catholique et préfacé par Mgr Michel Santier, évêque de Créteil et président du Conseil pour les relations interreligieuses de la Conférence des évêques de France. A le lire, le journaliste constate que les enseignants sont « appelés à gérer les éventuels problèmes avec beaucoup de prudence voire de soumission. » Objectif suprême : ne pas faire de vagues.
Citons ici un exemple de situations répertoriées dans le fameux instructif : l’entretien avec un parent d’élève musulman : « Dans une école primaire, suite à un problème de violence (une chaise lancée dans la classe) des enseignants (un homme et une femme) convoquent le père d’un élève musulman. Au cours de l’entretien, lorsque l’enseignante s’exprime, le parent se détourne. A l’inverse, quand l’enseignant lui parle, le père de l’enfant entre dans l’échange. »
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Dans ce cas, il est alors recommandé de « favoriser le dialogue entre l’enseignant et le parent » pour « rester en relation ». Enfin, si cela ne suffit pas, les proviseurs sont invités à faire appel à « une compétence musulmane » ! Quelle marque de faiblesse !
L’hebdomadaire le souligne si justement : « En plus de reconnaître son impuissance vis-à-vis de certains élèves de confession musulmane, l’enseignement catholique entérine lui-même son infériorité face à une entité religieuse extérieure. »
Et de conclure par cette interrogation : « L’école catholique laisse à l’islam l’opportunité de prendre de plus en plus de place en ses murs. Aujourd’hui, ce phénomène passe par des menus sans porc et l’acceptation du déni d’autorité lorsque le directeur est une directrice mais qu’en sera-t-il demain ? »
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