Élisabeth Borne - Photo© Wikimedia
Le gouvernement crée un poste d'« ambassadeur aux droits LGBT+ » !
Jusqu’où notre pays va-t-il sombrer dans la décadence ?
La question mérite d’être posée après l’annonce de la première ministre, ce quatre août, de la nomination d’un « ambassadeur aux droits LGBT+ dans le monde », « avant la fin de l'année ».
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Cet ambassadeur « coordonnera l'action du ministère de l'Europe et des Affaires étrangères pour la protection contre les discriminations et la promotion des droits LGBT+ et portera la voix de la France », a précisé Mme Borne, notamment pour défendre « la dépénalisation universelle de l'homosexualité et de la transidentité ».
Cette annonce est survenue lors d'une visite du centre LGBT+ (lesbien, gay, bi, trans) d'Orléans, à l'occasion du quarantième anniversaire de l'abrogation des discriminations entre les relations hétérosexuelles et homosexuelles introduites dans le Code pénal par le régime de Vichy.
Lors de cette visite du centre, elle a par ailleurs salué « le travail exemplaire des associations et des centres LGBT+ », « points d'entrée identifiables et accessibles pour de nombreuses personnes qui ne savent pas vers qui se tourner ».
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Il est à noter que cette nomination faisait partie des promesses de campagne du candidat Macron : « La France porte et continuera de porter notre idée des droits humains aux plans européen et international, qui suppose la lutte contre les discriminations contre les personnes LGBT + », avait-il déclaré au magazine Têtu, en avril dernier.
Et ce n’est pas tout ! La Première ministre a également annoncé « la création d'un fonds de trois millions d'euros pour créer dix nouveaux centres LGBT+ », en plus des 35 existants.
Madame Borne souhaite « qu'il y ait au moins deux centres dans chaque région de l'Hexagone et au moins un centre dans chaque région d’Outre-mer ».
Le gouvernement révèle ainsi son entière soumission aux lobby LGBT de notre pays.
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