Image d'illustration. Photo© Shutterstock
Des Français sont "poignardés"... que font les autorités ?
De plus en plus, les attaques au couteau et les cris d'Allah Akbar deviennent "monnaie courante" en France.
Trois événements, apparemment invisibles pour les autorités compétentes, qui se sont déroulés dans des lieux différents illustrent ce que les Français vivent au quotidien.
Le 1er juillet, un ressortissant afghan qui avait tenté de poignarder un ouvrier et des passants avant de crier “Allah Akbar", a été interpellé par les forces de l’ordre à Bordeaux.
D’après Valeurs Actuelles, « il lui est reproché d’avoir pénétré dans un bar en travaux puis de s’être emparé d’un couteau à bout rond, avec lequel il a tenté de poignarder un ouvrier. » Ensuite, lorsque la victime a pris la fuite en courant, l’agresseur l’a poursuivie et a tenté de porter des coups avec l’arme blanche à plusieurs passants, tout en criant « Allah Akbar ».
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Toujours d’après Valeurs Actuelles, le ressortissant afghan – en situation irrégulière – est inconnu du traitement d’antécédents judiciaires (TAJ).
Dans le Vaucluse, un autre homme a crié « Allah Akbar »
Le même jour, un autre individu a pénétré dans le hall d’entrée du commissariat d’Avignon, une commune du Vaucluse en criant « Allah Akbar ».
Après les faits, l’homme de 35 ans a été placé en garde à vue, puis entendu par les enquêteurs.
Selon les informations du Dauphiné libéré, son attitude a d’autant plus été prise au sérieux par les forces de l’ordre que l’individu fait l’objet d’un suivi particulier : il est fiché S et considéré comme étant un islamiste radical.
Armé d’un couteau, un Afghan tente d’égorger un policier
A Rennes, un homme armé d’un couteau a été arrêté mardi 5 juillet à proximité du centre commercial Colombia.
Constatant son comportement agressif et menaçant, les vigiles du centre commercial ont décidé d’appeler la police. Arrivés sur place, les agents ont une première fois tenté d’interpeller l’individu, avant de reculer face aux coups de couteau de leur cible.
Ayant réussi à s'échapper, il a été interpellé par d'autres policiers et a essayé de trancher la gorge de l'un des agents qui tentaient de l'arrêter, avant d'être immobilisé par le tir au pistolet à impulsion électrique d’un fonctionnaire de la BAC. Les forces de l’ordre ont alors pu arrêter leur homme, qui a été placé en garde à vue.
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Selon les informations de Valeurs Actuelles, « l’homme est un Afghan de 27 ans, prénommé Mehdi R. » Déjà connu des services de police, il circule sur le territoire librement grâce à une carte de résidence valable jusqu’en mai 2023.
Jusqu'à quand les autorités garderont-elles les yeux fermés sur de tels actes ? Jusqu'à ce qu'un prêtre, un enseignant ou même un parent qui cherche ses enfants après l'école soient victimes de tels actes et soient tués au nom d'Allah ? Ah mais non, puisque tout cela est déjà arrivé....
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