Photo : Captainbrannigan, CC BY-SA 4.0 Bland drakar och dragqueens dans la bibliothèque Nordmalings
Tennessee : les spectacles de drag queens pour enfants interdits
Le Tennessee sera le premier État des États-Unis à interdire les spectacles de drag queens dans les lieux ouverts aux mineurs. Cette décision a été prise grâce au soutien de trois juges de la Cour d'appel de ce même État.
La loi a reçu le feu vert du gouverneur républicain Bill Lee qui, en mars 2023, avait déjà autorisé la mise en place d'amendes à toutes les « danseuses topless, go-go-dancers exotiques et strip-teaseuses, ainsi qu'aux “imitateurs féminins ou masculins” qui proposent des divertissements “faisant appel à un intérêt lascif” » et qui, par conséquent, ne se conforment pas à la réglementation.
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Le gouverneur a précisé que si les premiers avertissements étaient considérés comme des « délits », les récidives pouvaient se transformer en crimes passibles « d'une peine pouvant aller jusqu'à six ans d'emprisonnement ».
Cette décision, en plus d'être la première d'une série de douze en cours de traitement dans d'autres États gouvernés par le parti républicain, vise à mettre fin à l'exposition gratuite de « thèmes et images sexuels inappropriés » à laquelle les enfants sont exposés.
La nouvelle loi devait être introduite en juillet 2023, mais un groupe d'activistes LGBTI s'y est opposé, dénonçant la loi comme « fermement ancrée dans la haine ». La représentante démocrate de l'État, Aftyn Behn, a été jusqu’à qualifier la décision du tribunal d'« attaque malavisée contre la communauté LGTBI ».
De son côté, le procureur général du Tennessee, Jonathan Skrmetti, a souligné que l'État a toujours respecté « le droit à la liberté d'expression », ajoutant que cette loi est « constitutionnellement valable », car l'État a tout à fait le droit d'interdire « la présentation de matériel obscène aux enfants ».
Les raisons pour interdire cette activité sont nombreuses : il s’agit de contenus inappropriés qui peuvent conduire à une sexualisation précoce des enfants, créer une confusion sur leur identité sexuelle, et dans de nombreux cas contredire les valeurs et les croyances des familles.
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Il est profondément regrettable qu'à une époque où l'innocence de l'enfance devrait être protégée avec le plus grand zèle, les autorités civiles et ecclésiastiques ne soutiennent pas les familles dans cette défense essentielle. L'immoralité affichée lors de la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024 est un exemple triste et inquiétant de cette omission. En revanche, l'exemple intransigeant de Notre Seigneur Jésus-Christ face à ceux qui scandalisent les petits devrait servir de guide et d'avertissement à tous.
Le Christ a été clair et ferme en déclarant qu'il serait préférable d'attacher une meule de moulin au cou de quiconque scandalise l'un des petits et de jeter cette personne à la mer, plutôt que de porter une atteinte aussi grave à leur innocence. Cette intransigeance divine montre la gravité du péché consistant à corrompre la pureté des innocents et devrait inciter les responsables civils et ecclésiastiques à agir avec fermeté et urgence pour défendre les enfants. Ne pas suivre l'exemple du Christ, c'est non seulement laisser les familles désemparées, mais c'est aussi exposer les plus vulnérables au danger, ce qui témoigne d'un décalage lamentable avec les valeurs qui devraient guider la société.
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