Stop au Djihat rural !

Mon message indigné à M. Gabriel Attal, premier Ministre, et M. Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur

Stop au Djihat rural !

Après les attaques terroristes et les exactions islamistes dans nos grandes villes, voilà que se développe un djihad des champs. Depuis plusieurs mois, en Dordogne, les calvaires, les églises et les tombes de petites communes rurales sont profanés par des messages menaçants envers les chrétiens. « La France est déjà à Allah », « La croix sera brisée », « Soumettez-vous à l’Islam », « Dernier avertissement, convertissez- vous » : voilà notamment ce qu’ont pu lire les habitants de Saint-Pantaly-d’Excideuil, Cherveix-Cuba, Clermont-d’Excideuil et de Tourtoirac, des communes paisibles dont le nombre d’habitants est inférieur à 700. En Charente, l’église saint Jean-Baptiste de la Couronne a été profanée le 2 février dernier par un individu prétendant agir au nom d’« Allah ». Toutes ces attaques ont été largement invisibilisées. Pourtant, si c’est un autre culte qui avait été visé, il ne fait guère de doute que vous auriez été au premier plan non seulement pour les dénoncer, mais aussi pour traquer, comme il se doit, les coupables. Où est l’État ? Où est le gouvernement ? Qu’attendez-vous donc pour agir ? Que le sang coule ? Vous le savez, à la fin de l’année, six individus seront jugés à Brest pour avoir projeté de massacrer tout un village au nom d’Allah, comme les nazis l’ont fait à Oradour-sur-Glane.

Monsieur le Premier Ministre, Monsieur le Ministre, ce djihadisme des champs doit cesser immédiatement. Si même à l’ombre des clochers de notre douce France nous ne sommes plus en sécurité alors où le serons-nous ? Comme des millions de Français, je ne me résigne pas à ce que des barbares tuent nos enfants et souillent les monuments qui sont l’âme de notre pays. Je vous demande de faire de la sécurisation de nos campagnes un objectif prioritaire. Dans le cas contraire, préparez-vous à affronter la légitime colère des Français lors de toutes les élections à venir : municipales, présidentielles et législatives.

Veuillez recevoir, Monsieur le Premier Ministre, Monsieur le Ministre, l’assurance de ma haute et vigilante considération,