RENONCEZ À SOUILLER NOTRE-DAME DE PARIS !

Supplique à Mgr Laurent Ulrich, administrateur apostolique du diocèse de Paris

C’est urgent !

Le diocèse de Paris s’apprête à « moderniser » Notre-Dame.

En réalité, la plus célèbre des cathédrales françaises pourrait être défigurée selon les spécialistes.

On redoute même qu’elle prenne l’aspect d’un hall d’aéroport !

S’il vous plait, demandez à l’administrateur apostolique du diocèse de Paris Mgr Laurent Ulrich, de renoncer tout de suite à ce projet.

Pour cela, signez la supplique qui lui est adressée : « Renoncez à souiller Notre-Dame ! » :

Monseigneur,

C’est avec stupeur que j’ai pris connaissance du projet de modernisation de Notre-Dame de Paris.

Ceux qui ont eu connaissance du projet porté par le diocèse font état d’un temple qui pourrait prendre l’aspect hideux d’un aéroport, voire d’un parc de stationnement.

Une collaboration avec des artistes connus pour leurs œuvres ésotériques et érotiques est envisagée.

D’après un célèbre quotidien britannique, la plus célèbre des cathédrales françaises pourrait ressembler à un Disneyland politiquement correct.

« Ce que l’incendie a épargné, le diocèse veut le détruire », ont dénoncé une centaine de personnalités, dont Didier Rykner et Alain Finkielkraut, dans les colonnes du Figaro.

Notre-Dame de Paris fut édifiée en un temps où la « philosophie de l’Evangile gouvernait les Etats », selon les paroles du Pape Léon XIII. L’art développé par les contemporains de Suger et de saint Louis parle non seulement à l’intelligence, mais aux âmes.

La reine des cathédrales est un écrin de beauté, destinée à recevoir ce qu’il y a de plus sacré au monde : le saint sacrifice de la messe.

Sa silhouette permet de saisir immédiatement qu’elle est un navire qui conduit les âmes au Ciel. Chacun de ses vitraux, chacune de ses statues et de ses pierres sont consacrés à la gloire de Dieu.

Aujourd’hui, l’harmonie et la sacralité de Notre-Dame est menacée par le diocèse. Hélas, ce n’est qu’une demi-surprise… « Le clergé français a dans les années 1960 interprété le concile Vatican II en mettant en œuvre un vandalisme inédit depuis la Révolution française au nom d’un modernisme douteux », a rappelé a juste titre Didier Rykner, président de la Tribune de l’Art.

Monseigneur, Notre-Dame va-t-elle être la prochaine victime de ce vandalisme postconciliaire ?

Faire entrer la « modernité » dans cet édifice ce serait le souiller. Ce serait aussi offenser Celui à qui Notre-Dame est consacrée et Celle dont elle porte le nom.

Je vous demande donc de mettre fin immédiatement au projet porté par le diocèse.

Vous assurant de mon profond respect,