EXIGEZ UN MORATOIRE SUR L’IMMIGRATION !

MA PÉTITION AU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE, M. EMMANUEL MACRON, ET AU MINISTRE DE L’INTÉRIEUR, M. GÉRALD DARMANIN

EXIGEZ UN MORATOIRE SUR L’IMMIGRATION !

Monsieur le Président, Monsieur le Ministre,

L’assassinat de Dominique Bernard, le 13 octobre 2023, par un migrant tchétchène, marque un point de non-retour. Ce professeur, tué trois ans après Samuel Paty, est la deux-cent-soixante-douzième personne à perdre la vie en France à cause du terrorisme islamique depuis 2011. Si son bourreau avait été expulsé en 2015, conformément aux lois de notre pays, M. Bernard serait encore en vie. Comme Mohammed Mogouchkov, un nombre important de djihadistes ont profité de la politique migratoire de masse suicidaire et presque incontrôlée de la France. Tous les terroristes qui ont participé au massacre du Bataclan en 2015 ont ainsi emprunté la route migratoire de l'est de l'Europe avec des passeports syriens ou irakiens.

Boualem Sansal nous le rappelle sur Atlantico (21/10/2023) : « Du Hamas à Arras, l’islam radical a déclenché une guerre sainte contre l’Occident ». Le président de la République a reconnu le 19/10/2023 que la guerre en Paletine excite l’Islam fondamentaliste en France : « Le risque, c'est que le conflit s'importe chez nous ».

Si rien n’est fait pour leur barrer la route, il est hélas certain que de nouveaux crimes vont être commis sur notre territoire au nom d’Allah.

Tant qu’une telle menace existe, il est vital, au nom du principe de précaution, de fermer nos portes à l’immigration extra-européenne, notamment celle en provenance des pays islamisés. Certains pays européens, comme le Danemark, sont parvenus à diminuer drastiquement les flux migratoires grâce à une politique ferme et volontaire. En France, rien n’a été fait et nous ne cessons d’en payer le prix du sang !

Monsieur le Président, Monsieur le Ministre, avec l’ensemble des sympathisants d’Avenir de la Culture, je vous demande de décréter immédiatement UN MORATOIRE SUR L’IMMIGRATION dans notre pays.

Espérant que vous prêterez enfin attention à la volonté des Français, je vous prie de recevoir, Monsieur le Président, Monsieur le Ministre, l’assurance de ma haute et vigilante considération.