DÉFENDEZ VOS ENFANTS CONTRE LA THÉORIE DU GENRE !

Ma pétition à M. Pap Ndiaye, ministre de l’Éducation nationale : « Abrogez la circulaire Blanquer ! »

Monsieur le Ministre,

C’est avec une vive déception que j’ai appris la validation par le Conseil d’État de la circulaire Blanquer du 29 septembre 2021 portant sur la soi-disant intégration des élèves transgenres. Comme vous le savez, ce document donne pour instruction aux établissements publics d’autoriser les élèves qui disent appartenir à un genre différent de leur sexe de se faire appeler par le nom d’usage qu’ils se sont eux-mêmes donnés. Ce nom, appartenant au sexe opposé de l’élève concerné, devra figurer sur les documents internes de l’établissement fréquenté par ce dernier comme le carnet de correspondance et la carte de cantine. Hélas, la circulaire Blanquer comprend aussi d’autres recommandations stupéfiantes comme la possibilité pour les élèves qui se disent « transgenres » de faire usage des « espaces d’intimité » habituellement réservés au sexe opposé (dortoirs, vestiaires).

L’Éducation nationale considère donc qu’à un âge où l’on n’est pas même autorisé à conduire seul une voiture ou à ouvrir un compte en banque, l’on peut nier son identité sexuelle et voir ce mensonge tenu pour vrai par tous, y compris par ceux qui sont titulaires d’une autorité comme c’est bien sûr le cas des enseignants.

Monsieur le Ministre, il est évident que de telles aberrations peuvent être lourdes conséquences sur le développement psychologique de jeunes gens et de jeunes filles parfois fragiles et confrontés, comme c’est fréquent à l’adolescence, à une crise d’identité.

Comme des milliers de parents d’élèves, je refuse que l’école se soumette à une idéologie absurde et néfaste qui prétend qu’il existe des hommes avec des utérus et, inversement, des femmes avec des organes génitaux masculins. Pour le bien de nos enfants, ce délire doit cesser immédiatement. C’est pourquoi, avec l’ensemble des sympathisants d’Avenir de la Culture, je vous demande d’abroger la circulaire Blanquer.

Veuillez recevoir, Monsieur le Ministre, l’assurance de ma haute et vigilante considération,