DECRETEZ IMMEDIATEMENT UN MORATOIRE SUR L’IMMIGRATION

Ma pétition à M. Michel Barnier, Premier ministre : Stop à l’immigration massive et incontrôlée !

Monsieur le Premier ministre,

Le meurtre de la jeune Philippine Le Noir de Carlan a horrifié les Français. Une nouvelle fois, après la petite Lola et le jeune Matisse, notre jeunesse paye le prix du sang à cause de l’incurie des pouvoirs publics. Cette jeune fille brillante, très appréciée de ses amis, avait tout l’avenir devant elle. Elle a été violée et assassinée par un individu qu’elle n’aurait jamais dû croiser. Son bourreau était en effet sous le coup d’une obligation de quitter le territoire français, qui n’a pas été exécutée. Par ailleurs, vous le savez, Taha O. avait été condamné à sept ans de prison pour viol en 2019. Cinq ans plus tard, il a été libéré, malgré le fait que le juge avait, à juste titre, estimé qu’il représentait « une menace pour l’ordre public » et qu’il existait « un risque de réitération des faits. » Dix-sept jours après sa libération, il a commis l’irréparable. Ce laxisme n’est pas seulement incompréhensible, il est criminel pour nos enfants.

Même si tous les migrants ne sont évidemment pas des meurtriers ou des violeurs, il est indéniable que l’immigration incontrôlée plonge les Français dans l’insécurité. Cette situation doit cesser une bonne fois pour toutes. Il y a trois ans, dans le cadre de la primaire des Républicains pour l’élection présidentielle, vous proposiez des mesures radicales pour tarir les flux migratoires. « On ne répare rien, on ne construit rien sans sécurité et si ce sont les passeurs et les juges qui décident qui peut entrer en France et qui peut y rester », affirmiez-vous dans les colonnes du Figaro. En conséquence, vous proposiez un moratoire sur l’immigration de 3 à 5 ans. Dans ce cadre, vous souhaitiez « cesser les régularisations inconditionnelles des sans-papiers », « accélérer le parcours du demandeur d'asile », durcir les critères du regroupement familial et réduire la délivrance des visas de long séjour.

Monsieur le Premier ministre, c’est maintenant ou jamais qu’il faut agir. Je vous demande donc de passer des paroles aux actes en décrétant immédiatement un moratoire sur l’immigration.

Veuillez recevoir, Monsieur le Premier ministre, l’assurance de ma haute et vigilante considération.