Théorie du genre : Avenir de la Culture passe à l’offensive
Voilà des mois, voire maintenant des années, que les Français assistent impuissants à la diffusion de la théorie du genre. « Hommes et femmes » ne sont que des constructions sociales et chacun peut choisir d’être l’un ou l’autre, les deux en même temps ou ni l’un ni l’autre ! Voici la doctrine aberrante prêchée par les gourous de cette théorie très en vogue parmi les milieux LGBT et féministes.
A ses débuts limitée à quelques cercles de pseudo-intellectuels radicaux, la théorie du genre envahit à présent toute la société et tous les pays occidentaux.
Londres, par exemple, a supprimé, depuis juillet 2017, la formule "ladies and gentlemen" dans ses annonces pré-enregistrées, sous prétexte que cette appellation ne permettait pas d’inclure les personnes "non-binaires", qui ne se reconnaissent pas dans les identités de genre, représentés par les associations LGBTQI (lesbienne, gay, bi, trans, queer, intersexe) ! A Amsterdam, les mentions « femme » et « homme » dans les documents officiels comportent désormais la précision « à la naissance », afin de ne pas offenser les transgenres…
Chez nous, à Tours, depuis septembre 2017, l'Université François-Rabelais a pris un double engagement envers les transsexuels : elle reconnaît leur prénom d'usage et va ouvrir des toilettes neutres. « Vous imaginez comme cela peut être compliqué, pour un étudiant qui se fait appeler Jules et qui porte la moustache, quand un enseignant l'appelle Julie en faisant l'appel, ou qu'il doit montrer sa carte d'étudiant pour emprunter un livre à la bibliothèque ? », argumente Concetta Pennuto, transsexuelle, dans la « Nouvelle République » du 13 septembre 2017. Quant aux toilettes neutres, l’Université va commencer par en doter la faculté de médecine, puis tout le campus. « Il y aura toujours des toilettes genrées, mais aussi des non-genrées. Pour celles-ci, des étudiants proposent actuellement des logos », explique Pennuto.
Enfin, et c’est là un point particulièrement préoccupant, nos enfants figurent parmi les victimes de choix de ces idéologues. Le film « Tomboy » racontant l’histoire d’une petite fille qui se travestit en garçon a ainsi été projeté à des milliers d’enfants par l’Éducation nationale, alors qu’une crèche toulousaine a supprimé tous les jouets trop associés, d’après elle, à un sexe (comme les outils de bricolage et les dinettes) pour ne garder que ceux à formes géométriques. Dans le Var, une école a supprimé la fête des mères et la fête des pères pour les remplacer par une fête des parents, afin de ne pas offenser les familles constituées de deux « papas » ou de deux « mamans ».
C’est pour donner aux Français, et particulièrement aux parents, les moyens de résister qu’Avenir de la Culture lance la diffusion de sa brochure : « La théorie du genre menace nos enfants – Appel à la résistance ! ». Déjà 20 000 exemplaires ont été imprimés et seront envoyés gratuitement dans toute la France, les prochains jours.
IMPORTANT : en participant par un don à cette importante campagne, vous pouvez recevoir chez vous un exemplaire gratuit du livre.
Pour ce faire, il vous suffit de renseigner votre adresse postale dans la page de participation.
Accessible à tous, rédigé sous forme de questions-réponses, ce livre de combat a pour but de contribuer à démasquer la perversité et la dangerosité de la théorie du genre.
Antoine Béllion
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