Suisse, Canada, Espagne : vers la dictature LGBT ?
Le Conseil National helvétique vient d’approuver la criminalisation de « l’homophobie » et de la « transphobie » rapporte le 11 octobre 2018, le site d’information espagnol Actuall.
La mesure a été approuvée avec une majorité approchant les deux tiers sous les applaudissements de tous les groupes LGBT que compte la Suisse.
« L’homophobie n’est pas une opinion, c’est un délit », a déclaré au journal suisse Le Temps, l’auteur de cette proposition Mathias Reynard.
En Espagne, le parti d’extrême gauche Podemos a présenté en septembre 2017 une proposition de loi allant encore plus loin dans la marche en avant vers une dictature rose.
Ce projet ne comprenait rien de moins que :
- l’introduction de l’idéologie du genre en classes avec obligation d’inclure au programme du « contenu sur la diversité sexuelle, de genre et de famille » dès l’école primaire.
- Le droit à une intervention chirurgicale pour changer de sexe dès 16 ans sans nécessité d’un consentement parental.
- Le droit de bénéficier d’un traitement hormonal dès la puberté.
- Le droit pour les élèves d’extérioriser dès le collège leur « identité de genre » et l’accès aux installations du collège – autrement dit douches, toilettes et vestiaires – conforment au sexe qu’ils se sont eux-mêmes attribués.
- La création d’une « Agence d’Etat contre la discrimination pour orientation sexuelle, identité de genre, expression de genre et caractéristiques sexuelles « qui sera responsable de la dénonciation, des poursuites et de l’exécution des peines de ceux qui enfreindrait la présente loi.
- Une amende de 45 000 euros pour ceux qui proposent des thérapies afin de guérir de l’homosexualité.
- La création d’un Centre National de la Mémoire historique LBTI dont la mission sera de rendre visible et de promouvoir les LGBTI dans l’espace public. Il devra également veiller à rebaptiser le nom de certaines rues.
- L’obligation pour les médias de diffuser des programmes incluant la différence de genre et les orientations LGBTI.
Les parlementaires espagnols ont heureusement rejeté ce projet totalitaire mais à présent que Podemos a rejoint la majorité, il pourrait bien finir par être approuvé.
Au Canada, l’Ontario a adopté en juin 2017, une loi prévoyant que les enfants puissent être arrachés à leurs foyers si leurs parents s’opposent aux droits LGBTQI et à l’idéologie du genre, rapporte le site Reinformation.TV.
Le 19 août dernier, toujours selon Reinformation.TV, le premier ministre canadien, Justine Trudeau a par ailleurs déclaré à l’occasion de la Gay Pride de Montréal que la tolérance envers l’homosexualité n’était plus suffisante et qu’il fallait à présent l’approbation de tous les Canadiens.
Pendant ce temps, chez nous, Christiane Taubira a reçu le 5 octobre 2018 un prix européen de lutte contre l'homophobie.
A cette occasion, l’ancienne garde des Sceaux, auteur du projet de loi dénaturant le mariage, a évoqué son espoir d'aller vers « d'autres conquêtes. »
Face aux menaces qui planent sur nos enfants et sur les défenseurs de la famille, Avenir de la Culture diffuse gratuitement dans toute la France son livre « La théorie du genre menace nos enfants, appel à la résistance. »
C’est maintenant qu’il faut dire « stop » à la dictature LGBT !
Guillaume Gattermann
Photo : DR
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