L’union Européenne sous la coupe des militants antiracistes ?
L’hebdomadaire Valeurs Actuelles tire la sonnette d’alarme : lors d’un récent discours, la présidente de la Commission européenne, Ursula Von der Leyen, a laissé entrevoir « l’idée d’un système de quotas pour que les minorités soient mieux représentées dans les institutions européennes » !!
Ces déclarations, avec de forts accents révolutionnaires, s'inscrivent dans une actualité où l'extrême gauche française tente d'importer la situation américaine dans notre pays, et où les discours antiracistes et indigénistes sont particulièrement à la mode.
Selon Mme Von der Leyen, la diversité n’est pas assez représentée au sein de l’Union européenne !
« Nous devons mettre en place une Europe plus humaine, plus juste et plus équitable », a-t-elle plaidé. Toujours selon la rédaction de l’hebdomadaire, le plaidoyer de l’ancienne ministre allemande « s’est rapproché des discours entendus en France en ce moment. Elle ne sait pas ce que c’est que ‘d’être noire ou membre d’une minorité ethnique.’ Elle ne sait pas ce que c’est que ‘d’être traité avec soupçon jour après jour.’ Un long discours victimaire qui ravira sûrement les militants décoloniaux et manifestants antiracistes. » Sans aucun doute !
A droite, on dénonce ces propos scandaleux : « Ce n’est pas le rôle de l’UE de parler de ces sujets-là alors qu’on sort d’une crise sanitaire sans précédent. Je suis même étonné que l’on n’ait pas organisé un hommage devant le parlement où nous aurions tous ployé le genou », réagit le député européen RN, Jérôme Rivière.
Celui-ci dénonce une manœuvre de l’Union européenne, profitant du « chaos ambiant » pour mettre en place ces systèmes de quotas au sein des institutions politiques, les forces armées et l’administration publique, des systèmes réclamés haut et fort para les militants antiracistes.
Pourtant, précise Valeurs Actuelles, ces moyens relèvent de la discrimination positive, qui remet en cause la méritocratie républicaine à la française.
Une chose est sûre, continue la rédaction, le discours de Ursula Von der Leyen met en lumière le débat autour de la question des statistiques ethniques.
Et surtout, cela démontre une fois de plus la pression exercée par les lobbys et ONG de tous genres et leur influence dominante au sein de l’Union Européenne…
Nathalie Burckhardt
Photo : Creative Commons CC-BY-SA-4.0 - Bruxelles - Siège de la Commission européenne - EmDee
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