La venue en France de mineurs isolés participe de réseaux bien organisés en provenance d’un nombre de pays bien déterminé - Photo© Wikimedia
Les mineurs isolés, « l’angle mort de la politique migratoire en France »
Suite au scandale de l’Ocean Viking, l’ancien secrétaire général du ministère de l’Immigration Patrick Stefanini a pointé la (très mauvaise) politique du gouvernement à l’égard des migrants mineurs isolés.
Invité de la matinale de CNews le dix-huit novembre dernier, Patrick Stefanini a commencé par rappeler que « les mineurs en France sont à la charge des départements et de ce que l’on appelle l’aide sociale à l’enfance. C’est le cas également pour les mineurs étrangers ».
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Mais il a également précisé que ces mineurs étrangers étaient, selon lui, bel et bien « l’angle mort de la politique migratoire en France ».
Pourquoi ? Parce qu’ils ne sont pas « astreints, contrairement à ce qu’il se passe dans d’autres pays, à la possession d’un titre de séjour. On ne peut pas les éloigner, c’est inscrit dans la loi », a-t-il expliqué.
« La venue en France de mineurs isolés participe de réseaux bien organisés en provenance d’un nombre de pays bien déterminé. Il y a par exemple la Guinée et le Maroc. Il y a comme ça quatre ou cinq pays d’où proviennent l’essentiel des mineurs isolés », alerte-t-il.
Ces réseaux sont mis en place pour favoriser l’immigration de ces mineurs, la plupart de jeunes garçons, sur notre continent.
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A propos des 26 migrants mineurs isolés, passagers de l’Ocean Viking, qui se sont enfuis du centre du Var où ils attendaient une clarification de leur situation par les autorités françaises, M. Stefanini affirme : « Ce que l’on peut penser de manière quasi-certaine, c’est qu’ils avaient d’autres destinations en tête, soit à l’intérieur du territoire français, soit au Royaume-Uni ».
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