
Photo : Petra de Pixabay
Le courage d'un médecin contre les traitements transgenres chez les enfants
Aux États-Unis, un psychiatre de renom a remporté une bataille judiciaire emblématique face à la théorie du genre. Le Dr Allan Josephson, ancien chef de la division de psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent à l’université de Louisville, a obtenu 1,6 million de dollars en dommages et intérêts après avoir été licencié pour avoir osé critiquer les traitements transgenres appliqués aux enfants.
Tout a commencé en 2017, lorsque le Dr Josephson a participé à une table ronde organisée par la Heritage Foundation. Il y exprimait son inquiétude face à la médicalisation des enfants souffrant de confusion de genre. Ses propos, jugés offensants par le personnel du centre LGBT de l’université, ont rapidement déclenché une série de représailles internes. D’abord rétrogradé, avec perte de salaire et d’avantages, il a finalement été renvoyé en 2019, en pleine tourmente idéologique.
C’est l’organisation Alliance Defending Freedom (ADF) qui a pris en charge sa défense. Selon l’ADF, Josephson a été « harcelé et licencié pour avoir dit la vérité sur les méfaits de la “transition” des enfants ». Le Dr Josephson, lui, affirme aujourd’hui : « Je suis bouleversé de voir que mon cas a contribué à ouvrir la voie à d’autres praticiens médicaux pour qu’ils comprennent la vérité universelle selon laquelle la modification du sexe biologique est incroyablement dangereuse, alors que l’acceptation de son sexe mène à l’épanouissement. »
Pour Travis Barham, avocat principal de l’ADF : « Après plusieurs années, la liberté d’expression et le bon sens ont remporté une grande victoire sur les campus universitaires. »
Ce jugement marque un tournant. À une époque où les pressions idéologiques réduisent au silence les voix dissidentes, il redonne courage à tous ceux qui refusent de céder à la pensée unique du wokisme. De plus en plus de médecins, psychologues, enseignants et parents expriment leur malaise face à la rapidité avec laquelle des traitements irréversibles sont proposés à des enfants vulnérables. Cette victoire judiciaire vient légitimer leur droit à la prudence, à la conscience, et à la vérité.
Cette affaire révèle également la pression idéologique croissante dans les institutions académiques et médicales, où contester la pensée dominante peut coûter une carrière. Mais elle montre aussi que la vérité finit par triompher lorsque des hommes de courage osent s’élever contre la confusion morale ambiante.
Dans un monde où la vérité biologique est sacrifiée sur l’autel du relativisme, le cas Josephson redonne espoir. Il rappelle que défendre la réalité – homme et femme, créés à l’image de Dieu – n’est pas seulement un droit : c’est un devoir moral.
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