Avenir de la Culture dénonce - Image d'illustration. Photo© Assemblage Avenir de la Culture
Islamisation : la volonté populaire méprisée
Avenir de la Culture dénonce : les pouvoirs publics méprisent la volonté populaire au profit d'une politique de soumission à l'islamisation de la France.
La France est en train de se couvrir d’un blanc manteau de mosquées, comme au Moyen-Âge elle s’était couverte d’un blanc manteau d’églises, selon l’expression célèbre de Raoul Glaber. Voilà un constat qui s’impose à toute personne un tant soit peu observatrice et de bonne foi.
Cette situation exceptionnelle qui est en train de changer le visage de la France, peut-être pour des décennies, est-elle voulue, ou, tout au moins, acceptée des Français ? Curieusement, avant d’autoriser un chantier pharaonique dans leur ville, les élus locaux ne demandent jamais leur avis à leurs administrés.
Le succès des campagnes lancées par Avenir de la Culture contre l’islamisation explique cette prudence : les Français ne veulent tout simplement pas que leur pays ressemble à l’Algérie ou à la Turquie et ils sont des dizaines de milliers à le faire savoir.
Des élus locaux aux abonnés absents
A Strasbourg, l’une des plus grandes mosquées d’Europe pourrait bientôt voir le jour. Ses gigantesques minarets ottomans devraient culminer à 36 mètres de haut. Le projet est entre les mains de Millî Görüs, une association d’origine turque qualifiée de « confrérie fondamentaliste » par le Conseil d’État.
L’imam de Drancy a tiré la sonnette d’alarme à propos de ce chantier : « C’est de la provocation. C’est la même politique qu’à Istanbul, lorsque l’église Sainte-Sophie est devenue une mosquée. » « Je n’arrive pas à comprendre comment une ville comme Strasbourg, qui a été touchée dans sa chair par le terrorisme puisse être complice des organisations islamo-politiques (…) au service d’Erdogan, l’homme qui a menacé la France », a ajouté M. Hassen Chalghoumi sur Radio Classique, le 26 mars 2021.
Pourtant la municipalité socialiste, puis écologiste, de Strasbourg a donné carte blanche à Millî Görüs pour construire sa « forteresse ».
Mme Jeanne Barseghian, le maire Europe Écologie-Les Verts de la capitale alsacienne projetait même d’accorder une enveloppe de 2,5 millions d’euros à cette association pour qu’elle puisse mener à bien rapidement les travaux !
Sous la pression populaire, notamment celle relayée par Avenir de la Culture, Millî Görüs a renoncé à recevoir cette subvention. Néanmoins, le projet de grande mosquée est toujours sur les rails et ce alors que la pétition d’Avenir de la Culture exigeant l’arrêt des travaux a réuni plus de 30 000 signatures. Les Verts qui se font régulièrement les chantres de la démocratie participative ont décidemment bien du mal à entendre la volonté populaire…
A Metz, il existe une situation similaire, bien que cette fois le maire soit issu des Républicains, un parti qui prétend régulièrement lutter contre l’islamisation de la France.
François Grosdidier a délivré un permis de construire au bénéfice d’une mosquée gigantesque qui pourrait accueillir jusqu’à 4000 personnes ! Celle-ci serait flanquée d’un espace « culturel » comprenant une salle d’exposition, une librairie, une bibliothèque, des salles de classe, un gymnase, un restaurant, des bains turcs et un musée dédié à l’histoire de la civilisation musulmane et à l’apport de l’immigration en Lorraine. Ce n’est plus une mosquée, c’est un centre de propagande !
Par le truchement d’Avenir de la Culture, 40 000 Français ont protesté auprès du maire de Metz. Pour le moment, à l’instar de son homologue de Strasbourg, celui-ci fait la sourde oreille…
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En l’absence de réponse de l’édile messin, Avenir de la Culture continuera bien sûr d’alerter et de mobiliser les Français contre ce chantier.
Où est le gouvernement ?
Le mépris des pouvoirs publics quant à la volonté populaire se vérifie également au niveau national.
Les Français souhaitent-ils que l’islam turc essème partout sur le territoire national ? C’est peu probable et le succès rencontré par la pétition d’Avenir de la Culture exigeant la dissolution de l’association Millî Görüs le prouve. Près de 100 000 personnes ont interpellé le ministre de l’Intérieur d'agir, sans que celui ne prenne la peine de répondre.
La feuille de route dressée par le fondateur de Millî Görüs, l’ancien premier ministre turc Necmettin Erbakan est pourtant extrêmement inquiétante : « Les Européens sont malades… Nous leur donnerons les médicaments. L’Europe entière deviendra islamique. Nous conquerrons Rome. »
Cette nébuleuse est la tête de 71 mosquées en France ! A celles-ci, s’ajoutent les établissements scolaires dirigés par la confrérie.
À Strasbourg, Millî Görüs a ouvert un groupe scolaire (école, collège, lycée) où certaines filles assistent voilées aux cours, comme en Iran !
Sur un tract de recrutement diffusé il y a quelques temps par cet établissement, on pouvait voir une fillette probablement d’origine arabe ou turque portant le hijab, assise à côté d’une petite fille blonde qui la regardait avec admiration ! Le message est clair : pour ces gens-là, l’avenir de la jeunesse française est islamique.
En plus de Strasbourg, des établissements dirigés par Millî Görüs ont ouvert leurs portes à Villefranche-sur-Saône en 2019, puis à Blois, Mulhouse et Annecy en 2020. D’autres projets sont à l’étude, notamment à Albertville, en Savoie, et à Lormont, près de Bordeaux.
La prolifération des écoles islamiques en France devrait être un vif sujet de préoccupation, d’autant plus que certaines d’entre elles sont sous contrat avec l’État, ce qui leur donne droit à des subventions publiques. C’est notamment le cas du lycée Averroès de Lille qui a obtenu, en justice, que la région Hauts-de-France lui verse 274 638 euros de subvention. Cet établissement a pourtant été pointé du doigt pour ses accointances avec l’islam radical, notamment de la part d’un ancien enseignant.
« En plus de vingt années de carrière en milieu scolaire, je n’ai jamais entendu autant de propos antisémites de la bouche d’élèves dans un lycée ! », écrivait Soufiane Zitouni dans les colonnes du journal Libération en 2015.
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Bien sûr, l’immense majorité des Français ignorent que leur argent est utilisé pour financer de telles écoles. C’est pourquoi Avenir de la Culture a tiré la sonnette d’alarme à la rentrée 2021. Plus de 15 000 Français ont demandé au ministre de l’Éducation nationale d’intervenir pour éviter que l’argent du contribuable ne serve à financer de tels établissements.
« Les hommes combattront… »
Au regard de ces faits, qui peut raisonnablement nier que l’islamisation de la France est imposée au peuple français avec la complicité des élites politiques, locales et nationales ?
Ce n’est pas la première fois dans sa longue histoire que la France est trahie par ceux qui ont pour mission de la protéger.
Quand sainte Jeanne d’Arc rendit visite au « petit roi de Bourges » pour lui demander de « bouter l’Anglais » hors de France, le pays était livré aux mains de l’occupant avec la complicité d’une part conséquente du clergé et de la noblesse. La victoire du roi d’Angleterre était alors jugée inéluctable. Pourtant, Dieu est intervenu et c’est une humble bergère qui sauva le royaume.
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Plus près de nous, le miracle de la Marne, quand l’armée allemande fut stoppée aux portes de Paris, en septembre 1914, prouve que le Ciel n’abandonne jamais la Fille aînée de l’Église. Toutefois, pour que Dieu offre la victoire, encore faut-il que les hommes combattent, comme le disait sainte Jeanne d’Arc.
Avec les centaines de milliers de Français qui souhaitent que leur pays reste une terre chrétienne, Avenir de la Culture ne cessera pas de mener le combat. Jusqu’à la victoire.
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