
Théorie du genre : danger pour les enfants !
Face à la théorie du genre et à ses dérives, une cinquantaine de médecins, psychiatres, psychanalystes, juristes, magistrats et philosophes ont tiré la sonnette d’alarme dans une tribune publiée dans L’Express le 20 septembre dernier.
Unanimes, ils dénoncent l’emprise idéologique sur les enfants faite au nom de l'émancipation de "l'enfant-transgenre".
En effet, depuis quelques années, les demandes de changement de sexe chez les enfants – et plus particulièrement chez les adolescentes – sont en nette hausse.
Il y a 10 ans, il s’agissait de dix requêtes par an. En 2020, en Ile-de-France, on a enregistré dix demandes par mois !
Les médecins et intellectuels signataires déclarent « ne plus pouvoir se taire sur ce qui leur apparaît comme une grave dérive commise au nom de l’émancipation de l'“enfant-transgenre”, défini comme l’enfant qui déclare n’être pas né dans le « bon corps ».
« On fait croire aux enfants qu’une fille pourrait devenir un garçon et inversement parce qu’ils l’auraient décidé sans même l’avis des adultes, et ce, de plus en plus jeune », dénoncent-ils fermement, au même titre que les discours banalisés, prétendant que l’on puisse « se passer du réel biologique, de la différence sexuelle entre hommes et femmes au profit de singularités choisies fondées sur les seuls ressentis. »
Ce phénomène de « l’enfant-transgenre » est en réalité une « mystification contemporaine » qui relève de « l’embrigadement idéologique », alertent les auteurs de la missive.
Le collectif pointe également la primauté des « ressentis » de l’enfant ou de l’adolescent, qui entraîne des conséquences graves et irréversibles sur leur corps : traitement médical à vie voire chirurgical comme l’ablation des seins ou des testicules.
Les spécialistes de la petite enfance sont unanimes : « L’enfant est un être en construction, son devenir est en constante évolution avant d’arriver à un stade de maturité ». Comment un enfant serait-il à même de choisir son « identité genrée » ?
Les co-signataires dénoncent en ce sens une véritable emprise sur l’enfant « dont les conséquences entraînent une déstabilisation mentale, une rupture avec la famille si elle ne soutient pas son enfant ».
Ils s’insurgent également contre la marchandisation à vie du corps des enfants : « En persuadant ces enfants qu’un sexe leur a été « assigné » à la naissance, et qu’ils peuvent librement en changer, on en fait des patients à vie », concluent-ils, dénonciant la consommation de produits chimiques hormonaux et d’opérations chirurgicales à répétition.
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